Bien chers fidèles
« Vraiment, l’esprit d’expiation surtout, ou de réparation, eut toujours la première place et la plus importante dans le culte rendu au Sacré-Coeur de Jésus. Rien n’est plus conforme à l’origine, au caractère, à la vertu et aux pratiques qui sont propres à cette forme de dévotion, ainsi que le confirment l’histoire, ses usages, et aussi la sainte Liturgie et les actes des Souverains Pontifes » Pie XI (Enc. Miserentissimus Redemptor, 1931)
Cette semaine nous pourrons avoir à cœur de prier spécialement pour les séminaristes de notre séminaire de Gricigliano, qui recevront la soutane, ou les ordres mineurs et majeurs. Rendons grâce à Dieu pour tous ces jeunes gens qui se donnent à lui en répondant à l’appel divin de la vocation sacerdotale.
Soyez assuré de ma prière
In Christo
Chanoine Vianney Poucin de Wouilt
« « Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean son frère » et, ayant gravi avec eux une haute montagne, à l’écart, il leur manifesta l’éclat de sa gloire, […] l’éclat royal qui convenait spécialement à [sa] nature humaine assumée et qu’il voulut rendre visible à ces trois hommes. Car, pour ce qui est de la vision ineffable et inaccessible de la Divinité elle-même, – vision réservée aux purs de cœur, pour la vie éternelle, des êtres encore revêtus d’une chair mortelle ne pouvaient en aucune façon la contempler ni même la voir. » (Sermon de Saint Léon, Pape, extraits du Bréviaire Romain)
« Saint Anselme, dans ses Enarrations sur saint Luc, développant [le mystère que nous solennisons aujourd’hui], nous dit qu’il y a trois choses à considérer dans le Cierge : la cire, la mèche et la flamme. La cire, dit-il, ouvrage de l’abeille virginale, est la chair du Christ ; la mèche, qui est intérieure, est l’âme ; la flamme, qui brille en la partie supérieure, est la divinité. » Dom Guéranger, extraits de l’Année liturgique